
C'est un poème qui traine depuis des mois dans les coins morts mon carnet. Je n'ai plus le nom de l'auteur. paix à son âme.
Du haut de l'infini m'est survenueCette vie d'ici bas. A travers les brouillards,
de mon être désert vapeurs premières, j'ai lentement rejoint, par des rites étrangesDe lumière et d'ombre intermittentsEt de lointains cris vagues, de fugaces aperçusD'une nostalgie inconnue, lueurs de divin,cet être que je suis nébuleux et proscrit...Tomba la pluie en un jadis qui fut moi-même.Il y eut des plaines de neige et...
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